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J’avais mes accus pour ma cigarette électronique qui était bon à changer. Je me suis dit : « Je vais prendre des Sony, car c’est une bonne marque. », j’ai donc pris les accus Sony VTC6 18650, quelle erreur ! Les accus avaient du mal à rentrer dans ma box. J’ai dû enlever l’étiquette collée sur chacun des accus. Même comme ça, c’était tout juste, j’étais obligé de pousser les accus pour qu’ils rentrent dans la box et de secouer la box pour que les accus sortent, car en plus, il restait des résidus de colle. Ça à même décollé le joint sur lequel repose la trappe à accus qui lui permet d’être certifié IP-67. Voyant ça, j’ai appelé mon revendeur « Le Petit Vapoteur » et je leur ai expliqué mon problème. La personne que j’ai eue au téléphone m’a conseillé à la place les accus 18650 2500 mAh Vape Power qui d’après ses dires n’ont que de bons retours, il a été compréhensif et m’a envoyé 4 accus pour remplacer mes Sony gratuitement frais de port compris et a passé les Sony en accus défectueux, j’ai été surpris du geste commercial.
J’ai reçu les 4 accus 18650 2500 mAh Vape Power ce vendredi 25 mars. Les accus sont moins lourds que les Sony, ça se sent aussi tôt dans la main. Première étape, le rechargement (car il faut toujours recharger les accus neufs). Je les recharge deux par deux, car mon chargeur est un double accus. La recharge est rapide, les deux accus finissent de se recharger en même temps. Pour les deux derniers, le constat est le même. Maintenant, la phase de mise en place des accus. Je sors les deux accus Sony de la box. Je mets deux accus Vape Power, ils rentrent sans problème, la circonférence des Vape Power est sensiblement inférieure à celle des Sony, car elles aussi ont une étiquette qui fait le tour des accus. La charge tient longtemps. Reste à voir la tenue dans le temps.
Bref, je suis content de ces accus 18650 2500 mAh Vape Power.
Je conseille Le Petit Vapoteur pour leur service après vente au top.
Crédit photo : Le Petit Vapoteur.
Site internet : Le Petit Vapoteur
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Voilà comment connaître la santé de ses disques durs et disques SSD avec GSmartControl. Il est bon de vérifier de temps en temps la santé de ses disques durs et SSD. De nos jours, ils sont tous dotés du système S.M.A.R.T. qui est un système de surveillance de disques durs et SSD d’un ordinateur. Il permet de faire un diagnostic selon plusieurs indicateurs de fiabilité dans le but d’anticiper les erreurs sur le disque dur. Pour surveiller l’état de mes disques durs ou SSD, j’utilise GSmartControl qui est disponible pour BSD, GNU/Linux, MacOSX et Windows.
GSmartControl est disponible ici : https://sourceforge.net/projects/gsmartcontrol/
Pour GNU/Linux, il est disponible dans les dépôts de votre distribution préférée donc vous pouvez l’installer avec votre gestionnaire de logiciels préférés.
GSmartControl est très simple d’utilisation même s’il n’est qu’en anglais.
Utilisation
Pour utiliser GSmartControl, vous avez besoin de lancer le service smartd, pour GNU/Linux, pour activer le service au démarrage, vous devez faire dans un terminal :
sudo systemctl enable smartd.service
Pour lancer le service, vous devez faire dans un terminal :
sudo systemctl start smartd.service
Vous trouverez GSmartControl dans votre menu démarrer avec Windows en faisant une recherche dans la zone de recherche.
Sous GNU/Linux, vous le trouverez dans le menu de votre gestionnaire de fenêtres dans le sous-menu « Systeme »
Sous GNU/Linux, une fois cliqué sur l’application dans le menu, une fenêtre popup s’affiche pour demander votre mot de passe.
GSmartControl s’ouvre avec la fenêtre suivante :
GSmartControl
Vous pouvez commencer à vérifier les états de vos disques.
cliquez sur un des disques :
Là, vous commencez à avoir des informations :
Informations sur le disque.
Contrôle sanitaire de base.
Famille de modèles.
Allons plus loin.
Double cliquez sur votre disque sélectionné, une nouvelle fenêtre s’ouvre :
- Là, vous avez les informations générales de votre disque :
- La famille de modèles.
- Le modèle du disque.
- Le numéro de série.
- Le World Wide Name, l’équivalent des adresses MAC pour les interfaces réseau.
- La version du micrologiciel.
- La capacité du disque.
- La taille des secteurs.
- Taux de rotation (pour les SSD, comme il n’y a rien qui tourne, il est juste indiqué : Solid State Device)
- Le format du disque, par exemple 2,5 pouces, 3,5 pouces…
- Commande TRIM : pour les SSD uniquement.
- Si le disque est présent dans la base de données Smartctl.
- Version ATA.
- Version SATA si le disque est branché en SATA.
- Quand le disque a été scanné.
- Support de SMART.
- SMART activé.
- Fonctionnalité AAM.
- Fonctionnalité APM.
- Anticipation de lecture.
- Anticipation d’écriture.
- Sécurité ATA.
- Version de Smartctl.
Allons voir l’onglet « Attributes » :
Il y a différents attributs, je vous laisse chercher leurs significations sur internet, car ce serait trop long de les traduire et de les expliquer ici.
Le statut « Failed » ou Échoué indique s’il y a eu un échec. Là c’est indiqué never donc il n’y a jamais eu d’échec sur les différents attributs.
Le terme « Old age » décrit un type pour certains des attributs nommés, ce qui indique qu'il est censé changer avec l'âge, plutôt que de prédire une défaillance.
Le terme « pre-failure » ne doit pas vous inquiéter tant que la valeur normalisée (Norm-ed value) est supérieure à la valeur seuil (Raw value).
Passons à l’onglet « Statistics ».
Là, vous avez les statistiques de votre disque. Même si c’est en anglais, ça se passe de commentaire.
Allons voir l’onglet « Self Tests ».
Là, vous pouvez faire des tests de vos disques.
Vous avez le choix entre deux tests, le « Short Self-test » qui dure environ 2 minutes et le « Extended Self-test » qui dure environ 85 minutes.
Voilà la fenêtre après un « Sort Self-test » :
On peut voir la ligne : Test result: ou il est indiqué : Completed without error, donc le test c’est terminé sans erreur.
Sélectionnez la ligne dans le cadre « Self-Test Log » et cliquez sur le bouton « View Output » pour voir en détail la sortie du test. Vous pouvez aussi enregistrer la sortie dans un fichier.
Passons à l’onglet « Error Log ».
Là, vous avez le journal de toutes les erreurs du disque. Là, il n’y en a aucune.
Passons à l’onglet « Temperature Log ».
Là, vous avez le journal des températures relevé du disque.
Finissons par l’onglet « Advanced ».
Là, vous avez toutes les informations avancées du disque sous divers onglets :
- Onglet « Capabilities » donc : Capacités.
- Onglet « Error Recovery » donc : Récupération des erreurs.
- Onglet « Selective Self-Test Log » donc : Journal de l'auto-test sélectif.
- Onglet « Physical » donc : Physique.
- Et l’onglet « Directory ».
Voilà, c’est tout, on a fait le tour de GSmartControl.
Attention :
D'après deux études de Google sur les disques durs qui composent ses serveurs, 50 % des disques durs qui sont tombés en panne avaient des données SMART qui indiquaient que ces disques étaient sains.
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Mis à jour le 8 juin 2022.
L'Av1 est un codec pour la vidéo et l'Opus est un codec pour l'audio.
Contrairement aux codecs H264 et H265 propriétaires et soumis à redevances, les codecs Av1 et Opus sont sous licences ouvertes. Les codecs Av1 et Opus ont l'avantage d'avoir des taux de compression les plus élevés du marché.
Par exemple, le codec Av1 a un taux de compression de 30 à 40 % supérieur au codec H265 et de 80 % supérieur au codec H264, et ça, sans perte de qualité visible.
Le format Av1 bien que récent (2018) est déjà utilisé par Netflix, YouTube, Vimeo, Twitch, le service de cloud gaming Google Stadia et la PlayStation 4 Pro et il y en a sûrement que j'oublie. De même, de plus en plus de télévisions supportent ce format.
Cependant, ce format n’est pas pris en charge par toutes les caméras ou par les logiciels de montage.
Par conséquent, faire du montage d’une vidéo en Av1 demande beaucoup de ressources et tout le monde n’a pas les moyens de se payer un ordinateur disposant de telles ressources. On doit donc créer notre vidéo en H264 ou H265 et utiliser FFmpeg pour convertir nos vidéos finies en AV1 Opus.
Installation
Pour convertir vos vidéos en Av1 et Opus, vous avez besoin d'installer deux logiciels (FFmpeg et MediaInfo) et le convertisseur SvtAv1, éventuellement, vous pouvez installer MKVToolNix.
Avec votre gestionnaire de paquets préféré, installez FFmpeg, MediaInfo et Svt-Av1 et éventuellement MKVToolNix.
Ces logiciels et le convertisseur existent pour Mac OSX et pour Windows, mais je ne me suis pas penché dessus.
Utilisation
La conversion va être sans perte visible pour la piste vidéo et sans perte audible pour la piste audio.
MediaInfo n'est pas primordiale, car si l'encodeur audio Opus détecte une piste audio stéréo alors que la commande indique que l'audio est en 5.1, il n'encodera rien et vous mettra un message d'erreur et inversement si la piste audio est en 5.1. Que la commande indique que l'audio est en stéréo, donc je trouve qu'il est plus simple de vérifier le nombre de canaux avant pour envoyer la bonne commande.
Alors, vous avez une vidéo à convertir, je prendrai comme exemple une vidéo de 1 h 53 min en 1280 × 528 en HEVC (donc en H265) et en AC-3 5.1 pour l'audio.
Vous pouvez utiliser MKVToolNix si vous voulez supprimer une piste audio ou des sous-titres ou les renommer.
Vous ouvrirez le fichier avec MediaInfo avec un clic droit et « Ouvrir avec » et sélectionner « MediaInfo ». La fenêtre suivante s'ouvre :
En bas, vous voyez « Audio », dans la ligne en dessous, repérez « channels », devant, il y a un 6 donc la vidéo est en 6 canaux (5.1). Si la vidéo était en stéréo, il y aurait marqué « 2 channels ». Maintenant que vous savez combien il y a de canaux, vous saurez quelle ligne de commande utiliser.
Maintenant, on va convertir la piste vidéo :
Ouvrez un terminal sur le dossier dans lequel est la vidéo et tapez la commande suivante dans un terminal :
ffmpeg -i video.720p.5.1.H265.mkv -map 0:v:0 -pix_fmt yuv420p10le -f yuv4mpegpipe -strict -1 - | SvtAv1EncApp -i stdin --preset 6 --keyint 240 --input-depth 10 --crf 30 --rc 0 --passes 1 --film-grain 0 -b Outfile.ivf
Remplacez video.720p.5.1.H265.mkv par le nom de votre fichier vidéo.
Appuyez sur « Entrée » et allez faire une grande balade, faire les courses ou faire beaucoup de trucs pour vous occuper, car c'est très long à convertir.
Une fois que la conversion de la piste vidéo a été convertie, vous allez joindre le fichier converti (Outfile.ivf) à la vidéo pour obtenir un fichier avec la piste vidéo et la piste audio. C'est à ce moment-là que vous allez pouvoir convertir la piste audio dans le codec Opus.
Si vous avez une piste audio à 6 canaux, reprenez votre terminal et tapez la commande suivante :
ffmpeg -i Outfile.ivf -i videdo.720p.5.1.H265.mkv -map 0:v -map 1:a:0 -map 1:s? -c:v copy -c:a libopus -af channelmap=channel_layout=5.1 -b:a 250k -vbr on -c:s -max_interleave_delta 0 FinalProduct.mkv
Remplacez videdo.720p.5.1.H265.mkv par le nom de votre fichier vidéo d'origine.
Remplacez FinalProduct.mkv par le nom que vous voulez donner à votre fichier final.
Si vous souhaitez une piste audio à 6 canaux alors que vous avez une piste audio à 8 canaux (7.1) dans le fichier original, vous pouvez garder la ligne de commande ci-dessus. J'ignore s’il est possible de conserver les huit canaux avec le codec Opus.
Si vous avez une piste audio à 2 canaux, reprenez votre terminal et tapez la commande suivante :
ffmpeg -i Outfile.ivf -i videdo.720p.H265.mkv -map 0:v -map 1:a:0 -map 1:s? -c:v copy -c:a libopus -b:a 128k -vbr on -c:s -max_interleave_delta 0 FinalProduct.mkv
Remplacez videdo.720p.H265.mkv par le nom de votre fichier vidéo d'origine.
Remplacez FinalProduct.mkv par le nom que vous voulez donner à votre fichier final.
-map 1:s? et -c:s dans les deux dernières commandes vous permettront de copier les sous-titres de la vidéo source s’il y en a de disponible.
-max_interleave_delta 0 permet d'éviter l'erreur Starting new cluster due to timestamp.
Voilà, c'est fini. Vous pouvez supprimer le fichier Outfile.ivf.
Avec mon fichier de départ qui faisait 1 Gio, mon fichier converti ne fait plus que 769 Mio, il y a donc un gain de 33,16 % en taille par rapport au H265.
Sur mon ordinateur, la conversion vidéo et audio de mon fichier vidéo a mis 5 heures 55 minutes.
Pour info, j'ai comme processeur un AMD Ryzen 3 1200 Quad-Core.
Pour l'instant, le gain en taille le plus élevé que j'ai eu est 43 % par rapport à un fichier en H265.
J'ai fait d'autres conversions avec des fichiers plus petits et voilà ce que ça donne :
Une vidéo de 1 h 32 de résolution de 1280x536px (qualité 720p) en H264 AC-3 5.1 de 4,4 Gio en Av1 Opus 5.1 de 832,9 Mio ce qui accorde 81,07 % de gain de taille d’une durée de conversion de 6 h 03.
Une vidéo de 1h55 de résolution de 720x512px (qualité DVD), H265 Opus stéréo de 531,9 Mio en Av1 Opus stéréo de 430,7 Mio ce qui donne 19,03 % de gain de taille et d'une durée de conversion de 3h56.
Une vidéo de 1h56 de résolution de 512x280px, H265 Opus stéréo de 346,9 Mio en Av1 Opus stéréo de 365,9 Mio ce qui offre 5,48 % de déficit de taille et d'une durée de conversion de 2h38.